Le 09 juillet 2014, un Patron du pays de Montbéliard faisait grève ! Aujourd’hui le Président de la CGPME du Territoire de Belfort porte la parole des patrons de PME dans une lettre ouverte aux Elus de la République.
La CGPME était à ses côtés, convaincue que cette initiative plus que symbolique révélait un malaise profond des chefs d’entreprises. Les soutiens que nous avons reçus vont dans ce sens. En effet, derrière ce « coup de gueule » décidé par un homme exaspéré face à l’accumulation de contrôles et de tracasseries administratives, ce sont des centaines, des milliers de chefs d’entreprise qui s’identifient à cette initiative. Ce sont de nombreux patrons de PME qui aujourd’hui n’en peuvent plus face à une administration tatillonne, face à un état qui privilégie le contrôle fiscal ou social à la lutte contre les vrais maux économiques.
Les vrais maux économiques qui gangrènent notre pays, vous ne les trouverez pas dans les contrôles fiscaux ou
sociaux. Ils sont ailleurs, dans une réglementation des marchés publics suicidaire, dans une mondialisation non
maîtrisée, dans une lourdeur administrative sclérosante, dans la non lutte contre le travail illégal, dans un
appauvrissement de la capacité concurrentielle des entreprises, dans un louable mais démesuré
accompagnement social, dans la disparition progressive de la valeur Travail, . . .
Les vrais maux économiques qui gangrènent notre pays, vous ne les trouverez pas dans les contrôles fiscaux ou
sociaux. Ils sont ailleurs, dans une réglementation des marchés publics suicidaire, dans une mondialisation non
maîtrisée, dans une lourdeur administrative sclérosante, dans la non lutte contre le travail illégal, dans un
appauvrissement de la capacité concurrentielle des entreprises, dans un louable mais démesuré
accompagnement social, dans la disparition progressive de la valeur Travail, . . .
Voici un court résumé de ce que Louis Deroin, Président de la CGPME du Territoire de Belfort, vient d’envoyer dans une lettre ouverte aux élus de la République. Vous trouverez ici l’intégralité du courrier envoyé.
Pour lui, il est indispensable de prendre les mesures à la hauteur de la situation !